Bon ou mauvais leadership (et comment faire la différence)

Bon ou mauvais leadership (et comment faire la différence)

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Un bon leadership consiste à inspirer et à motiver les suiveurs à faire le travail, quel qu'il soit. Il considère plus que les seuls paramètres de productivité pour le succès et ajoute le bien-être de l'organisation et de ses employés à la liste des objectifs. 

Quelles décisions et voies le secteur immobilier devrait-il privilégier ? Et comment pouvez-vous, que vous soyez à la tête d'une équipe ou d'une entreprise entière, tirer parti de ces meilleures leçons là où vous travaillez ? En février, avant d'élaborer un plan directeur de l'industrie à Déconnexion Inman, nous sonderons le thème du leadership avec des questions-réponses avec les meilleurs leaders de l'industrie, des contributions de chroniqueurs estimés d'Inman et plus encore.

Il existe autant d'approches pour direction car il y a des leaders, et chacun aura une perspective et une méthode unique. Alors, comment savez-vous quels styles de leadership sont bons ou mauvais ? 

Souvent, nous mesurons le leadership en termes d'efficacité. Si un leader peut produire les résultats souhaités, son leadership est généralement considéré comme bon. Mais est-ce toujours vrai ? 

Ce n'est pas si simple. 

Des dirigeants efficaces et bons dirigeants ne sont pas mutuellement exclusifs, ni synonymes. 

Le leadership ne se limite pas aux chiffres

Qu'est-ce que le leadership ? C'est plus que simplement gérer un groupe de personnes ou une organisation ou même créer un plan pour atteindre des objectifs en groupe. Le leadership consiste à inspirer et à motiver les suiveurs à faire le travail, quel que soit le travail. 

Bien que nous considérions l'inspiration et la motivation comme des mots positifs, nous pouvons tout aussi bien être inspirés par la peur et motivés par la colère, ce qui n'est pas une façon si positive de les penser.

Un bon leadership prend en compte plus que les seuls paramètres de productivité pour succès et ajoute le bien-être de l'organisation et de ses employés à la liste des objectifs. 

Plus important encore, un bon leadership garde les gens à bord parce qu'ils veulent être là, pas parce qu'ils ont peur de partir. 

Il y a deux façons de diriger : la confiance et la peur. Comme l'a dit le célèbre philosophe chinois Lao-Tsu, le meilleur leadership est tellement lié au travail qu'il passe inaperçu. 

« Pour diriger les gens, marchez à leurs côtés… Quant aux meilleurs leaders, les gens ne remarquent pas leur existence. Le meilleur suivant, les gens l'honorent et le louent. Le lendemain, le peuple a peur ; et le lendemain, les gens détestent… Quand le meilleur travail de leader est terminé, les gens disent : 'Nous l'avons fait nous-mêmes !' »

— Lao-tsu

Un bon leadership utilise la confiance pour diriger et inspirer d'autres, tandis que le mauvais leadership utilise la peur. 

Les marqueurs d'un bon leadership sont évidents chez les leaders et les personnes dirigées

Lorsque la confiance est au cœur du leadership, la communication ouverte et la collaboration sont encouragées, ainsi que l'innovation et la créativité. Il y a un sens aigu du travail d'équipe et du travail avec le leadership plutôt que de travailler pour le leadership. Les membres de l'équipe se sentent responsabilisés et les dirigeants s'adaptent aux nouvelles idées et perspectives plutôt que d'éviter tout ce qui s'écarte de leur plan ou de leur vision. 

Vous pouvez toujours reconnaître un bon leadership par le attitudes positives des suiveurs. Un faible taux de roulement est un drapeau vert pour un bon leadership dans une organisation. 

En revanche, un mauvais leadership utilise la peur et les absolus. Un mauvais leadership est souvent enraciné dans l'insécurité et s'appuie sur la loyauté comme mesure ultime du succès pour ceux qui en dépendent. Les suiveurs ne se sentent pas habilités à s'exprimer ou à faire quoi que ce soit qui ne soit pas explicitement sanctionné par le leadership. 

Il y a des moments où un leadership strict peut produire des résultats, mais généralement, ces résultats sont de courte durée et non durables. Un roulement élevé est un signal d'alarme pour mauvaise direction dans une organisation. 

Suivre un bon leadership et être de bons leaders est essentiel pour maintenir le succès et le bonheur à long terme. 

Un bon leadership va au-delà de la simple réalisation des résultats et des mesures souhaités ; ça inspire. Les abonnés sont motivés à apporter de nouvelles idées et perspectives grâce à la confiance, à la communication ouverte, à la collaboration et l'autonomisation. En revanche, un mauvais leadership repose sur la peur, ce qui entraîne une baisse du moral et des taux de rotation élevés. 

En fin de compte, un bon leadership se manifeste par des attitudes positives et un sens du travail d'équipe, ce qui permet d'obtenir beaucoup plus à long terme et se traduit par plus de bonheur pour tout le monde. 

Jessi Healey est rédactrice indépendante et gestionnaire de médias sociaux spécialisée dans l'immobilier. Retrouvez-la sur Instagram or LinkedIn.

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